C’est un projet en mouvement continu. Construire le monde, c’est le défi qui s’impose à chacun, qui requiert le meilleur de ce dont nous sommes capables pour donner sens et direction à la vie qui émerge, et dont le déploiement est sans cesse menacé par le chaos.

Nous vous présentons quatre textes qui précisent l’engagement auquel le citoyen, le chrétien, est invité.

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Un premier texte nous fait entrer dans l’engagement que L’Évangile propose à celui ou celle qui se laisse interpeller. La Parole accueillie se traduit dans des gestes simples et de compassion comme le vit Le Samaritain.

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Se laisser interpeller c’est changer notre vision du monde, c’est sentir monter l’indignation devant l’inacceptable, devant toute situation d’inégalité et d’injustice. L’indignation devient la porte d’entrée vers la mobilisation, celle de l’individu, celle d’une collectivité. C’est notre deuxième texte qui aborde en particulier la situation des femmes.

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Devenir citoyen, engagé, veut aussi dire acquérir droit de cité. Le chemin est long pour y arriver. À la base de ce périple, c’est la confiance personnelle retrouvée qui redonne la vie et soutient l’engagement du citoyen. Ce troisième texte nous présente le parcours de quelques personnes des milieux défavorisés et laissées pour compte, mais possédant une capacité d’engagement et de leadership que seule l’estime personnelle redonnée rend possible. On comprend que le devenir du citoyen ressemble au devenir du chrétien, l’un nourrissant l’autre.

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Nous prenons conscience que nous sommes tous interdépendants ; c’est là une force puissante. Ce dernier texte nous dévoile l’ampleur du bouleversement vécu au niveau économique de la planète. La mondialisation nous révèle jusqu’ou nous devenons interdépendants. Cette culture d’entreprise et de société intègre-t-elle l’éthique, la dignité des personnes au centre de son activité et de son approche? Le défi attend chaque citoyen, chaque chrétien et croyant pour construire le monde.